Oct
2014
Participation au frais libre
Notre cage
Évènement thématique autour de l'univers carcéral :
Lecture
Lecture d'extraits de
Suis-je encore vivante? de Grisélidis Réal,
QHS et du Roman des Ecameaux de Roger Knobelspiess
Par Isabelle Mestre et Christophe Mileschi en la présence de Roger Knobelpiess (sous réserve)
Grisélidis Real, suisse, égyptienne, grecque, gitane, écrivaine, peintre, prostituée, future « catin révolutionnaire » du Mouvement des prostituées des années 70 est née en 1929. En février 1963, elle est incarcérée à la prison pour femmes de Munich. Elle y tient son journal le «Journal d'une désespérée» qu'elle rebaptisera plus tard «Suis-je encore vivante?»
«Mais bon Dieu, il faut donner forme à sa révolte, et remuer la tourbe, et en extraire ces demi-crevés. Je propose une réforme pour l’abolition des prisons. Leur transformation en cours de philosophie, d’histoire, d’arts et de sciences. Ce serait tellement plus intelligent et productif ; il en sortirait des hommes et non des bêtes montrant les dents.»
Roger Knobelspiess a passé 26 ans de sa vie en prison, dont une grande partie en Quartier de Haute Sécurité (QHS). Il a dénoncé l'inhumanité d'un système carcéral français qui broie les hommes et les pousses à la récidive. Se battant inlassablement, contre sa peine, contre ses conditions de détention, sans cesse transféré de cellule d'isolement en cellule d'isolement, il n'a jamais cessé de crier son innocence.
«Le crime ? Pour moi il n'existe pas. Le crime pour moi, c'est l'institution. La société sans harmonie, la société sans émancipation, la société sans partage, sans liberté, sans choix, sans désir, sans sensibilité humaine, sans sensualité d'être.»
le 12 à 17h00
Participation au frais libre
Projection
« L’identité nationale »
Film documentaire de Valérie Osouf
Production : Granit film
Rencontre débat à l’issue de la projection en présence de la réalisatrice.
Dans un mouvement de résistance au discours sur l’immigration qui a progressivement gangréné le champ politique au cours de ces 30 dernières années, ce film propose d’écouter des paroles rarement entendues, d’élus, de professionnels de la justice ou de chercheurs, paroles qui se recoupent, se complètent et dessinent peu à peu ce que nous pourrions nommer Xénophobie d’État. En réfléchissant ainsi le rapport que notre État-Nation entretient avec l’Étranger, «L’Identité Nationale» nous invite à redéfinir notre position de citoyens et à questionner les contours comme les fondements de notre propre identité française.
Valérie Osouf réalisatrice : Passionnée par les problématiques de l’Afrique contemporaine, les questions d’identité et de mémoire, Valérie Osouf travaille actuellement à la réécriture de son premier long-métrage de fiction «Marie et Djibril», un drame conjugal, ainsi qu’au développement d’un documentaire de création, «Terra Linguae», en co-écriture avec Agathe Giraud.
Projection suivie d’une rencontre avec la réalisatrice
Oct
2014
le 19 à 17h00
le 20 à 19h00
Plein tarif : 14 €
Demi-tarif : 7 €
Théâtre
Mon Colonel
Jeu : Laurent Claret
Musique : Philippe Defosse-Horridge
Lumières : Hervé Bontemps
Production : LBE Compagnie
avec le soutien du Conseil général de Saône-et-Loire
© Didier Goudal
En rangeant les affaires de mon père décédé, j'ai retrouvé une quarantaine de lettres adressées à mon arrière grand-père Emile Claret, colonel de Dragons, écrites par un de ses lieutenants, entre 1915 et 1919. Ces lettres retracent pas à pas le parcours chaotique de cet homme, du front vers l'arrière. Elles mettent en lumière la fracture d'un monde ancien, où l'on combattait à cheval et au sabre, et l'avénement d'une terrible guerre industrielle où l'homme est devenu de la chair à canon. Elles reflètent aussi l'histoire d'une défaite intime, de la désillusion d'un soldat pris dans la tourmente d'un conflit qu'il n'aurait jamais pu imaginer. Elles témoignent enfin, avec une rare lucidité, de l'état de la France dans l'immédiat après-guerre, de la mascarade de la toute nouvelle Société des Nations, et des humiliations infligées par les vainqueurs aux Allemands.
Nov
2014
Hommage poétique:
17h-19h30
Gratuit
Mon Colonel :
Tarif Unique
7 €
Hommage poétique
Un héritage à partager
© Sénégalais, France, Saint-Ulrich, autochrome 12 x 9 cm, Paul Castelnau, 8 juin 1917, inv. A 12040, collection Archives de la Planète, musée Albert-Kahn, département des Hauts-de-Seine
L’universalité n’étant pas la négation de la singularité, et la singularité étant la condition de l’universalité, qui n’en représente que l’approfondissement.
Aimé Césaire
À l’occasion des commémorations du centenaire cet événement propose d’évoquer la résonnance universelle de ce conflit à travers trois figures engagées dans la transmission d’un héritage filial.
Une Lecture de textes de poètes de la négritude (Léopold Sédar Senghor, Léon- Gontran Damas, Aimé Césaire) et d’aujourd’hui sera proposée par Amadou Gaye et Jyb en hommage à l’engagement des tirailleurs, zouaves lors de la Première Guerre Mondiale.
Puis, un temps consacré à un échange avec un historien spécialiste/artistes et public donnera l’occasion de croiser les témoignages, récit et précisions historiques.
Une représentation de « Mon colonel » sera ensuite proposée à 20h30 par Laurent Claret. Composé à partir d’une correspondance d’un lieutenant à un colonel des dragons (arrière grand-père du comédien) ce spectacle met en lumière la fracture d’un monde ancien, où l’on combattait à cheval et au sabre, et l’avènement d’une terrible guerre industrielle où l’homme est devenu de la chair à canon.
Ce récit, d’une rare lucidité, témoigne aussi de l’état de la France dans l’immédiat après-guerre, de la mascarade de la toute nouvelle Société des Nations, et des humiliations infligées par les vainqueurs aux Allemands.
Trois histoires un même héritage, universel.
17h-18h : Hommage poétique
18h-19h30 : Échange avec Maurice Martin Professeur d'histoire honoraire. Conférencier de l'Université Camille Corot de Mantes la jolie, les Artistes et le public.
20h30 : Représentation / « Mon colonel, Lettres du Lieutenant Bertrand au Colonel CLaret»,
Adaptation, mise en scène et jeu : Laurent Claret
Musique : Philippe Defosse-Horridge
Lumières : Hervé Bontemps
Production : LBE Compagnie
Tout public
Hommage poétique : 17h-19h30 Gratuit
Nov
2014
les vendredis et samedis à 20h30
Les dimanches à 17h00
Plein tarif : 14 €
Demi-tarif : 7 €
Théâtre
Paroles de Nègres, poètes de la négritude
Interprétation : Amadou Gaye
Mise en scène : Gabriel Debray
Création lumière : Thomas Bonnel
© Émmanuel Galante
Paroles de nègres, Poètes de la négritude est une déambulation poétique.
Un homme est seul sur scène : il est la voix, la mémoire des poètes de la négritude. Il s’adresse alternativement tout à la fois à lui même, à la face du monde et à chacun d’entre nous. Sur sa route les poèmes se succèdent, une dramaturgie s’organise par association d’idées, ruptures de tons et changements d’énergies. Les lumières rythment sa parole et créent différents climats propices au voyage.
Passionnément
Poétiquement
Je suis au service de cette littérature à part entière qui appartient désormais à la Grande littérature de l'universel.
Amadou Gaye.
Cette poésie moderne concerne l’humanité, elle raconte notre histoire, parle au coeur des hommes qu’elle souhaite réunir. Homme avec la conscience de la nature qui nous a fait naître et celle de notre responsabilité à «être» humain.
Gabriel Debray
Sur les textes des poètes :
Francis Bébey -Cameroun.
Aimé Césaire -Martinique.
Birago Diop -Sénégal.
David Diop -Sénégalo-Camerounais.
Léon-Gontran Damas -Guyane.
Gilbert Gratiant -Martinique.
Langston Hugues -USA.
Jean Metellus -Haïti.
Paul Niger -Guadeloupe.
Jacques Roumain -Haïti.
Léopold Sédar Senghor -Sénégal.
Guy Tirolien -Guadeloupe.
En partenariat avec :
http://www.africultures.com/php/
Janv
2015
18 à 17h00
Plein tarif : 14 €
Demi-tarif : 7 €
Rsa : 3 €
Evènement Ombre en lumière Concert/Théâtre
Norbert ABOUDARHAM revient au Local ! Avec ses deux casquettes… Musique (manouche) et théâtre (sauvage !)
60 ans de soufflet à souffler !
© Soufflet à souffler
Le vendredi 16 Janvier :
Duo d’accordéon …La route des Roms En habitué des surprises Norbert ABOUDARHAM invite Antoine Girard l'accordéoniste virtuose des "Doigts de l'homme" pour un Duo d'accordéon. Une formule surprenante ou le swing manouche croise l'Europe Centrale !
Le samedi 17 Janvier :
Quartet jazz manouche … Le bal clandestin Jazz manouche, nombreux invités : Max Robin, Pierre Jacquet, François Hégron mais aussi des surprises où Norbert retrouvera ses amis pour fêter ses 60 ans de soufflet de "Bratsch" à son "Bal Clandestin"… Un rendez-vous exceptionnel !
© Affiche chat HD 2,8M°
Théâtre sauvage !
Le dimanche 18 Janvier :
Norbert le chat, le clown physicien nous fera une fresque déjantée où nous retrouverons son Chat de Schrödinger (merci d'amener des croquettes !)) et enfin nous saurons si le monde a été créé en 6 jours (et un de RTT) on en 15 Milliards d'année.
Illusion et magie. Le cours déjanté d'un universitaire bien particulier aux multiples faces ! Tout public, mais ne laissez pas les enfants au premier rang… C'est dangereux…!
De et avec Norbert Aboudarham
D’Aristote à Einstein en passant par Pierre Dac !
Éloignez les enfants ! (du premier rang)
Tout public
Janv
2015
25 à 17h
Participation aux frais libre (minimum 5€)
Lecture
En un mot commençant...
Texte : Tomas Torqué
Mise en bouche : Vincent Abitane
Surveillance grammaticale : Gabriel Debray
© Studio prépresse
Œil pour oeil, mot pour mot.
Et pourquoi pas une conférence (en forme de lecture) sur les mots ? Pour tout ceux qui, comme moi, ne savent plus très bien comment dire ! Ceux qui doutent des dialogues qu’ils entretiennent avec leurs contemporains et surtout des discussions qu’ils peuvent avoir avec eux-mêmes. Oui, une petite lecture pour tout ceux qui parlent tout seul. Tout ceux qui ont un problème avec les mots.
Et oui ! Pourquoi les mots ? Pourquoi encore les mots ?
Il y a tant d’antécédents, sujet inépuisable qui ne cesse de m’épuiser. Je me sens obligé de venir vous en parler un peu, juste un peu, afin de partager mes réflexions sur leurs capacités de nuisances. Avec vous, je voudrais tenter de fouiller un peu plus loin que le bout de ma langue et essayer d’en déceler les supercheries, de suivre la multitude des pistes qu’ils ont tracées en moi et certainement en vous également.
Si ça vous dit, on peut chercher ensemble…
Janv
2015
au 15 Février
Vendredi et samedi
à 20h30
Dimanche à 17h00
lundi 9 février
à 19h00
Relâche le 13 février
Plein tarif : 14 €
Demi-tarif : 7 €
Rsa : 3 €
Clown
« Nous ça va mais avec ce que l’on voit à la télé … »
Compagnie Matador
Adapté, interprété et mis en scène par Rafaële Arditti
Lumières : Juliette labbaye
Montage vidéo : Sophie Creusot
Regards extérieurs : Raphaël Almosni, Sylvie Gravagna
© Sophie Azambre Leroy
Ce spectacle est le troisième solo de clown politique de Rafaële Arditti après Sarkophonie, dissection dyslexique du discours réactionnaire, Madame Laculture, spectacle qui reprend le jargon culturel pour en démonter la fatuité et l’élitisme. Rafaële Arditti continue de s’intéresser à ce qui sonne faux, ce qui marche de travers dans notre société, et surtout ce qui la met en colère ! Par exemple, à chaque fois qu’elle allume la télévision... Et pour sortir de cette morosité du petit écran soit-disant brillant, la clowne partage avec nous la revanche qu’elle a mijotée : elle dézingue les vrais textes de la télé et nous venge en montrant que sous couvert de nous divertir, certaines émissions propagent des idées bien nauséabondes... Au point de nous influencer dans l’isoloir ?
Mars
2015
au 13 avril
Vendredi et Samedi
à 20h30
Dimanche
à 17h00
Lundi
à 19h00
Plein tarif : 14 €
Demi-tarif : 7 €
Rsa : 3 €
Résidence Couleur Local / Théâtre
Mon colonel
Interprétation : Laurent Claret
Musique : Philippe Defosse-Horridge
Lumières : Hervé Bontemps
Production : LBE Compagnie
Avec le soutien du Conseil général de Saône-et-Loire
Presse : Nicole Czarniak
Collaborations artistiques : Pascal Dujour, Isabelle Fournier, Eudes Labrusse
© Didier Goudal
En rangeant les affaires de mon père décédé, j’ai retrouvé une quarantaine de lettres adressées à mon arrière grand-père Emile Claret, colonel de Dragons, écrites par un de ses lieutenants, entre 1915 et 1919.
Ces lettres retracent pas à pas le parcours chaotique de cet homme, du front vers l’arrière. Elles mettent en lumière la fracture d’un monde ancien, où l’on combattait à cheval et au sabre, et l’avènement d’une terrible guerre industrielle où l’homme est devenu de la chair à canon. Elles reflètent aussi l’histoire d’une défaite intime, de la désillusion d’un soldat pris dans la tourmente d’un conflit qu’il n’aurait jamais pu imaginer.
Elles témoignent enfin, avec une rare lucidité, de l’état de la France dans l’immédiat après-guerre, de la mascarade de la toute nouvelle Société des Nations, et des humiliations infligées par les vainqueurs aux Allemands.
Laurent Claret
« …C’est avant tout la parole du lieutenant Bertrand qui est mise en exergue, adressée à Mon Colonel et portée par l’enthousiasme et la santé de l’acteur et concepteur du spectacle Laurent Claret, l’arrière-petit-fils du fameux colonel. »
Véronique Hotte – Hottello/ 21/10/21014
« …Une petite pièce intimiste qui nous en dit long sur les débuts de notre monde moderne. »
Michal Bleibtreu Neeman - Epoch Times / 17/11/2014
Rencontres bord plateau :
« L’immédiat après-guerre » Dimanches 29 mars, 5 et 12 avril à l’issue de la représentation Avec l’artiste et l’historien Maurice Martin, spécialiste de la Grande Guerre
Le spectacle est suivi d’un débat d’environ 1 heure avec les spectateurs sur la question de l'immédiat après- guerre, période largement abordée dans « Mon Colonel ». Il s’agira de décrypter ce que fut ce moment particulier, et de réfléchir à ses conséquences sur les deux décennies suivantes, la Seconde guerre mondiale, et par extension l’époque contemporaine.
Le 29 mars, les aspects politiques de l'après-guerre seront au cœur des échanges : la création de la Société des Nations et le partage de l'Europe; le Traité de Versailles avec les dommages financiers imposés aux allemands et les conséquences de ces décisions sur la montée du nazisme.
Le 5 avril, les aspects socio - économiques de l'après-guerre seront discutés notamment la dette allemande et son impact sur l'histoire de l’entre deux guerres, la crise de 29, le rôle des américains et de leur puissance financière, la démobilisation des soldats, le rôle des femmes.
Le 12 avril, un dernier échange dédié aux bouleversements artistiques de l'après-guerre conclura ce cycle de débats. Deux décennies particulièrement foisonnantes dans les domaines de la littérature, la peinture et la musique avec un focus sur l’Allemagne et l’expressionisme allemand.
Mai
2015
au 31
Vendredi et Samedi
à 20h30
Dimanceh à 17h00
Lundi 19h00
Plein tarif : 14 €
Demi-tarif : 7 €
Rsa : 3 €
Résidence de création Couleur Local / Théâtre
Marilyn Monroe, Confession Inachevée
Mise en scène : Benoit Nguyen Tat
Assistante à la mise en scène : Laetitia Viallet
Composition musicale : Daniel Yvinek
Avec : Stéphanie Sphyras, Jando Graziani
Photographies : Pierre Alivon et Milton Greene
Vidéos : François de Galard
Scénographie : Sylvie Lardet
Costumes : Dorothée Lissac
Lumières : Benoît André
Graphisme : La Famille
Production Principe Actif – Mémoire d’Images En partenariat avec ABG et Joshua Greene, Archive Images, LLC Pierre Marcel Blanchot - Agents et Artistes Management
Photographed by Milton H Greene © 2014 Joshua Greene www.archiveimages.com
Deux comédiens sont sur scène. Le comédien interprète les personnages marquants de la vie de Marilyn. La comédienne fait entendre la voix d’une femme à la sensibilité étonnante. Elle n’incarne pas la star qu’Hollywood a érigée en objet de désir, créature fascinante qui est devenue une véritable légende, bien au contraire, elle nous montre une femme dans toute sa complexité : impulsive, intelligente, mélancolique, timide, solitaire, mais surtout affamée de vie.
Le texte résonne avec les projections des photographies de Milton Greene réinventées par Pierre Alivon, artiste qui invente une nouvelle vie à Marilyn en la faisant voyager à travers notre monde.
Mêlant composition personnelle et documents d’archives, acoustique et électronique, la musique de Daniel Yvinec, ancien directeur artistique prolifique de l’Orchestre National de Jazz, accompagne cette confession. Un spectacle aussi envoûtant que son sujet !
Cette pièce s’inscrit dans le projet transmédia UPDATE MARILYN. À travers une installation, une pièce de théâtre, un site internet - http://www.updatemarilyn.com/ et deux webséries, UPDATE MARILYN propose, une relecture du « mythe Marilyn » dans notre monde d’aujourd’hui.
Il se développe en partenariat avec les ayants droit américains ABG et Joshua Greene, Archive Images, LLC. Joshua Greene met à la disposition de ce projet des œuvres photographiques de son père, qu’il a récemment restaurées.
Rencontres bord plateau :
À l’issue de la représentation du dimanche, l’équipe artistique propose un échange d’environ 1 heure avec les spectateurs. Accompagné d’une personnalité, les comédiens, le metteur en scène discuteront des sujets et enjeux abordés par le spectacle.
Dimanche 3 mai
« Le projet transmédia dans le spectacle vivant »
Avec Benoît Nguyen Tât, Metteur en scène
À partir de la présentation de l’installation « Update Marilyn » - dispositif où des créations sonores, photographiques sont combinées à un outil multimédia - Benoît Nguyen Tât partagera avec le public son expérience où le transmédia, nouvel enjeu de création, est au cœur de la conception du projet artistique.
Dimanche 10 mai
« Marilyn Monroe. Confession inachevée »
Avec Stéphanie Sphyras, Comédienne
Récit de l’adaptation à la scène de la biographie de Marilyn Monroe par Ben Hecht scénariste renommé d’Hollywood. Stéphanie Sphyras fera le récit de la transposition de ce texte unique et livrera son regard de comédienne sur la femme cachée derrière l’icône.
Dimanche 17 mai
« Réinventer Marilyn. »
Avec l’équipe artistique.
Discussion autour de la personnalité de Marilyn Monroe, icône comédienne et femme.
À l’issue de la représentation – 18h45
Juin
2015
Plein tarif : 14 €
Demi-tarif : 7 €
Rsa : 3 €
Événement Ombre en Lumière / Danse
Danser Paris
Chorégraphie : Claire de Monclin
Scénographie : Claire de Monclin et Antonio Gallego
Avec la participation d'enfants et de danseurs des ateliers de danse contemporaine Avec la participation d'enfants et de danseurs des ateliers de danse contemporaine
S’inspirant d’une création plastique de Claire de Monclin et d’Antonio Gallego, les danseurs de l’atelier « danse contemporaine » ainsi que des enfants danseurs présentent un spectacle autour de la tour Eiffel et de l’arc de triomphe. A la façon des peintres cubistes, dans une vision kaléidoscopique, ils proposent une interprétation personnelle des monuments où la vision, l’imagination et l’espace sont à l’honneur, sur des chansons qui racontent Paris.